Pro Vélo – questions aux candidats aux Municipalités


A l’occasion du renouvellement des exécutifs communaux en 2016, Pro Vélo a tenu à recueillir les avis de tous les candidats aux Municipalités de l’agglomération lausannoise à propos de la « politique vélo » et de la mobilité. Vous trouverez, ci-dessous, mes réponses aux questions.

Amis cyclistes, il est important de voter afin de désigner des candidats qui s’engageront sincèrement en faveur d’une meilleure prise en compte de nos attentes ! Lire la suite

 

Nom et prénom : Chevallaz Jean-Marc

Parti : PLR.Les Libéraux-Radicaux

Commune : Pully

1. Quel est votre rapport au vélo? 
Je pratique le vélo tous les jours pour me rendre à mon travail

2. Quel est, selon vous, le potentiel du vélo comme alternative à la voiture et aux transports publics dans votre commune et dans l’agglomération (objectifs de report modal) ?
Il faut savoir que notre commune présente un dénivelé important entre Pully-Port et les Monts-de-Pully. De mon côté, l’alternative à la voiture est liée aux déplacements à la piscine ou pour une balade en famille. Lors de mes déplacements sur Genève, je privilégie l’utilisation du vélo du fait d’un relief relativement plat.

3. Soutenez-vous l’initiative fédérale vélo (www.initiative-velo.ch) lancée par PRO VELO et une vingtaine d’organisations partenaires ? 
Oui, je soutiens l’initiative.

4. Comment entendez-vous renforcer la continuité et la cohérence d’un réseau cyclable à l’échelle de l’agglomération ?
La mobilité croissante de la population a engendré une urbanisation constante du territoire. La ville de Pully est intégrée Schéma Directeur de l’Est Lausannois (SDEL) et considérée comme une ville-centre du PALM. De ce fait de nombreux projets d’aménagement vont être entrepris. C’est dans ce cadre que les réflexions relatives aux réseaux cyclables doivent être faites et encouragées.

5. La ville de Lausanne favorise aujourd’hui la création de contresens cyclables lorsque cela s’avère possible afin de rendre les cheminements à vélo plus directs et pratiques : seriez-vous favorable à ce type de mesures au sein de votre localité ?
Oui, pour autant que la largeur des rues ne mette pas en concurrence un vélo et une voiture. Ces zones de contresens doivent être clairement délimitées. De plus, il est important d’éduquer certains cyclistes qui oublient les principes fondamentaux de la circulation et de la sécurité.

6. En cas d’élection, quelles mesures prendriez-vous en priorité afin de promouvoir – ou pas – la mobilité cycliste ?
Pour moi, il s’agira d’intégrer la réflexion « mobilité cycliste » aux différents projets d’aménagement des voies de circulation afin de promouvoir ce moyen de transport, bon pour la santé et respectueux de l’environnement.